Le régime de Grindelwald

Gellert Grindelwald, depuis sa jeunesse, a rêvé d'un monde où les sorciers ne se cacheraient plus. Quoi ! Ils devaient se plier à une race qui leur était inférieure ? Comment ! Ils devaient se faire discrets, eux qui étaient les plus forts ?
Beaucoup de sorciers se sont sans difficulté ralliés à sa cause. On prône l'idéal du Sang-Pur, et on commence à utiliser une Magie Noire qui a été taboue, secrète et rarement utilisée pendant longtemps. En effet, Grindelwald ne rechigne pas à utilise des métholdes de magie noire, du moment qu'elles sont plus puissantes et plus efficaces.

Grâce à la baguette du Sureau, il possède un pouvoir hors du commun, mais cela, beaucoup l'ignorent et ne s'en doute même pas.

Les journaux sorciers le glorifient, sa police politique arpente les rues jours et nuit. Il a suffit de quelques années pour qu'il étende son bras sur le territoire européen, et pour qu'il contrôle tout. Si Vienne, désormais capitale de son Empire ne manque de rien (enfin, au niveau sorcier), la situation dans les autres pays de l'Est est moins enviable.

Et puis, pour enfermer et faire taire ses opposants, Grindelwald a créé la prison de Nurmengard. Il ne les exécute pas, non, enfin pas la plupart : il les fait croupir dans une cellule de Nurmengard. A l'entrée, sa devise est gravée : il agit pour le plus grand bien.

Les hommes à son service sont les Schwarzkämpfer, les serviteurs des ténèbres. Ce sont des soldats qui se battent pour lui, et qui se mêlent aux SS d'Hitler pour effectuer des missions. D'autres hommes, plus influents, font parti d'un cercle plus restreint qui peut se permettre de le conseiller ; ceux-là sont dûment récompensés.